Changement de décor pour cette bastide de village du XVIIe. Des couleurs modernes aux murs et des carreaux de ciment au sol mettent en valeur les nombreux meubles chinés, la salle-à-manger blanche et grise, est juste pimentée de rouge avec de jolies suspensions.
Cette table gastronomique varoise prend désormais des allures de bistrot de campagne avec une carte très resserrée et des prix très allégés. En cuisine, le nouveau chef, Lorenzo Pouillet prend sa première place de Chef derrière les fourneaux, débordant d’inventivité, il mise tout sur le goût privilégiant les légumes de saison des producteurs locaux « Mon plus grand plaisir c’est de travailler un produit pour la première fois ».
Son savoir-faire, il l’a acquis dans les grandes maisons varoises et alsaciennes (Le Castellaras, La Maison des Têtes, Le Maximilien…) et il ne cache pas son plaisir de travailler dans une région où abondent les matières premières de qualité : daurade de la côte niçoise, agneau ou lapin de Haute-Provence, figues, olives, citrons et tomates bio, sans oublier sarriette ou romarin que l’on ramasse à proximité.
Asperges et chèvre frais du petit producteur de Mons, jarret de cochon et ses légumes d’antan, magret de canard au kumquat, petit baba au limencello et kougelhopf en pain perdu… Fraicheur et simplicité sur la table garanties, car tout est fait en cuisine.
Une aubaine pour les clients car désormais, chacun choisit son accompagnement : en ce moment, petite cassolette de pomme de terre ou de risotto… Si les légumes sont souvent bio, les fromages sont aussi terroir, chèvre, brebis, vache… servis sur la planche à discrétion.
Toute dernière nouveauté avec brunch le week-end, autour du barbecue, sous les platanes.
Son savoir-faire, il l’a acquis dans les grandes maisons varoises et alsaciennes (Le Castellaras, La Maison des Têtes, Le Maximilien…) et il ne cache pas son plaisir de travailler dans une région où abondent les matières premières de qualité : daurade de la côte niçoise, agneau ou lapin de Haute-Provence, figues, olives, citrons et tomates bio, sans oublier sarriette ou romarin que l’on ramasse à proximité.
Asperges et chèvre frais du petit producteur de Mons, jarret de cochon et ses légumes d’antan, magret de canard au kumquat, petit baba au limencello et kougelhopf en pain perdu… Fraicheur et simplicité sur la table garanties, car tout est fait en cuisine.
Une aubaine pour les clients car désormais, chacun choisit son accompagnement : en ce moment, petite cassolette de pomme de terre ou de risotto… Si les légumes sont souvent bio, les fromages sont aussi terroir, chèvre, brebis, vache… servis sur la planche à discrétion.
Toute dernière nouveauté avec brunch le week-end, autour du barbecue, sous les platanes.
Une suite familiale sous les toits
Au dernier étage, une vaste chambre avec poutres apparentes a été aménagée. Elle dispose d’un petit salon dominée par une mezzanine et son grand lit, un espace parental bien séparé d’une chambre d’enfant mansardée abritant deux lits en fer forgé et une salle de bains au charme rétro à l’image du mobilier de l’hôtel.
Une chambre mitoyenne avec salle de bains peut être rajoutée, ce qui permet de privatiser tout l’étage en suite familiale et de loger ainsi 8 personnes.
Une chambre mitoyenne avec salle de bains peut être rajoutée, ce qui permet de privatiser tout l’étage en suite familiale et de loger ainsi 8 personnes.
www.hoteldeuxrocs.com/
