© Belize Tourism Board
Cette fouille historique a été menée par les archéologues Arlen et Diane Chase (Université de Houston), sous permis officiel de l’Institut d’Archéologie du Belize (IA), organe de l'Institut National de la Culture et de l’Histoire (NICH). Il s’agit d’une découverte majeure qui vient enrichir l’héritage culturel exceptionnel du Bélize.
Au cœur de la forêt tropicale du parc national de Chiquibul, le site archéologique de Caracol est un complexe archéologique partiellement enfoui sous la végétation et constitue l’un des trésors les plus impressionnants de la civilisation maya. Découvert dans les années 1930 par des bûcherons, ce site passionne les archéologues et attire les visiteurs amateurs d’histoire.
Les archéologues ont ouvert une tombe intacte, renfermant un trésor archéologique d’une richesse rare : bijoux en jadéite, tubes en os finement sculptés, céramiques rituelles, coquillages spondyle, et un impressionnant masque en mosaïque de jadéite. Ces objets, témoins de la grandeur du souverain, reflètent des influences venues de Teotihuacan, au centre du Mexique, preuve de relations diplomatiques de haut rang dès le IVe siècle.
Au cœur de la forêt tropicale du parc national de Chiquibul, le site archéologique de Caracol est un complexe archéologique partiellement enfoui sous la végétation et constitue l’un des trésors les plus impressionnants de la civilisation maya. Découvert dans les années 1930 par des bûcherons, ce site passionne les archéologues et attire les visiteurs amateurs d’histoire.
Les archéologues ont ouvert une tombe intacte, renfermant un trésor archéologique d’une richesse rare : bijoux en jadéite, tubes en os finement sculptés, céramiques rituelles, coquillages spondyle, et un impressionnant masque en mosaïque de jadéite. Ces objets, témoins de la grandeur du souverain, reflètent des influences venues de Teotihuacan, au centre du Mexique, preuve de relations diplomatiques de haut rang dès le IVe siècle.
© Institute of Archaeology, Belize
Comme le souligne Melissa Badillo, directrice de l’Institut d’Archéologie « C’est une découverte d’importance nationale, mais aussi régionale, qui replace le Belize au cœur des grands échanges mésoaméricains ». Elle met en lumière la richesse de notre patrimoine et l’importance de sa préservation. »
Datée de 331 après J.-C., la tombe révèle un contexte funéraire de haut rang. La présence d’objets venus du Mexique central, tels qu’une obsidienne verte de Pachuca et des armes associées à Teotihuacan, atteste que Caracol était, dès ses origines, intégré à des réseaux d’influence et d’échanges complexes.
Datée de 331 après J.-C., la tombe révèle un contexte funéraire de haut rang. La présence d’objets venus du Mexique central, tels qu’une obsidienne verte de Pachuca et des armes associées à Teotihuacan, atteste que Caracol était, dès ses origines, intégré à des réseaux d’influence et d’échanges complexes.
© Institute of Archaeology, Belize
Soutenue par l’Université de Houston et plusieurs fondations, l’équipe scientifique poursuit ses recherches en collaboration avec l’Institut d’archéologie du NICH : analyses ADN anciennes, tests isotopiques, reconstruction du masque en jadéite, et autres études de pointe sont à venir.
Sur une étendue de près de 100 km², le site impressionne par la richesse de ses vestiges architecturaux, son ingénieux réseau agricole et sa planification urbaine. À son apogée, Caracol comptait près de 100 000 habitants et jouait un rôle central dans les alliances et conflits géopolitiques de la région, notamment avec Calakmul, Tikal ou encore Naranjo.
Le site archéologique de Caracol est un voyage dans le temps, à la découverte d’une civilisation particulièrement brillante, pour tout amateur d’histoire et de nature sauvage.
Sur une étendue de près de 100 km², le site impressionne par la richesse de ses vestiges architecturaux, son ingénieux réseau agricole et sa planification urbaine. À son apogée, Caracol comptait près de 100 000 habitants et jouait un rôle central dans les alliances et conflits géopolitiques de la région, notamment avec Calakmul, Tikal ou encore Naranjo.
Le site archéologique de Caracol est un voyage dans le temps, à la découverte d’une civilisation particulièrement brillante, pour tout amateur d’histoire et de nature sauvage.
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