Tout souriait à Léa avant ce tragique accident. Il régnait un équilibre parfait entre ses vies professionnelle et sentimentale. Et puis, sur cette route départementale, ce jeune conducteur les yeux rivés sur son téléphone portable, l’esprit trop distrait…
Le terrible choc ! Le coma suivi d’un réveil interrogateur, la glaçante nouvelle, le diagnostic sans appel : paralysie des jambes. Le déni avant l’acceptation puis le besoin de se battre, avec des hauts et des bas, trop de périodes d’incertitude.
Tous ces moments forts vécus au sein d’une MAS – Maison d’Accueil Spécialisée -, au milieu d’autres ʺOubliés de la Vieʺ, tels des frères d’armes, avec leurs défauts, leurs fractures indélébiles. Au milieu de tout cela, Léa cherchera la reviviscence, sa reviviscence, tout en aidant au maintien de l’espoir chez les pensionnaires. En découvrant les différentes facettes d’handicapés souvent plus atteints en leur chair qu’elle. S’instaurera alors un climat de confiance, parfois rompu par quelque incident plus ou moins tragique. Une ambiance et une bienveillance qui pousseront Léa à ouvrir les yeux et l’âme… pour le bonheur des autres.
Tous ces moments forts vécus au sein d’une MAS – Maison d’Accueil Spécialisée -, au milieu d’autres ʺOubliés de la Vieʺ, tels des frères d’armes, avec leurs défauts, leurs fractures indélébiles. Au milieu de tout cela, Léa cherchera la reviviscence, sa reviviscence, tout en aidant au maintien de l’espoir chez les pensionnaires. En découvrant les différentes facettes d’handicapés souvent plus atteints en leur chair qu’elle. S’instaurera alors un climat de confiance, parfois rompu par quelque incident plus ou moins tragique. Une ambiance et une bienveillance qui pousseront Léa à ouvrir les yeux et l’âme… pour le bonheur des autres.
Léa découvrira-t-elle l’amour au moment où elle s’y attend le moins ? Une meilleure prise de conscience de Léa renforcera-t-elle son engagement ? Ce sont tous les messages que Marie Lincourt souhaite faire parvenir au lecteur, dans cet émouvant ouvrage qui traite des relations trop souvent ambiguës entre valides et handicapés. Et ce cri unanime et profond que ces derniers poussent envers les premiers : Regarde-moi, J’existe !
Regarde-moi, J’existe !
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